Le Prix - Roman de séduction autour du monde



Bonjour et bienvenue sur le blog de promotion du roman Le Prix.


Ce roman est mon premier livre et j'y expose, à travers l'histoire de voyage autour du monde de mon personnage principal prénommé Hugo, les principes essentiels de séduction, ainsi que les mécanismes et techniques de mise en oeuvre.

Ces techniques sont issues pour la plupart des travaux de spécialistes en la matière comme Erik Von Markovik (aka Mystery, auteur des Arts Vénusiens), Neil StraussJuggler et John Alexander outre-atlantique ou encore Spike, coach en séduction en France.

Elles concernent l'art d'aborder les femmes, le "que dire" et "le comment le dire", les techniques pour mener une discussion, pour créer l'attraction et susciter le désir, la détection des signes d'intérêts, etc... Les thèmes classiques de la Séduction (Opener, False Time Contraint, Body Language, Indicator of Interest, Push/Pull, Interrupteurs de l'Attraction, Persuasion Neuro-Linguistique, Style vestimentaire, Energies sociales, Homme Alpha, etc...) sont abordés ici de manière simple, pédagogique et accessible avec un vocabulaire courant.
J'ai donc voulu en donner ma vision des choses, le tout agrémentée de réflexions et techniques personnelles dues à mes expériences de ces trois dernières années.

Je ne prétend aucunement révolutionner les choses dans ce domaine mais seulement en donner une approche plus didactique que tous ces manuels et ebook de séduction qui fleurissent un peu partout sur la toile.

Mon livre s'adresse donc aux débutants et aux personnes étrangères (et curieuses) à cette communauté, souhaitant en avoir une approche différente et plus ludique.


En outre, et afin d'apporter une dimension supplémentaire culturelle à cette histoire d'apprentissage de la séduction, j'ai parsemé le roman de points d'histoire et de culture, relatifs aux pays traversés lors du voyage de mon héros.

Ce roman est constitué de 200 pages et son écriture et les nombreuses recherches, corrections, modifications et révisions apportées auront nécessité près de 8 mois de travail depuis le premier mot posé sur le papier jusqu'à son envoi à l'imprimeur.

Si l'intérêt et la curiosité de découvrir tout un monde nouveau et fascinant sur les relations de séduction Hommes-Femmes vous attire, je vous invite à vous procurer ce livre au prix de 19€ en cliquant sur le lien ci-contre.

Je vous propose enfin quelques extraits ci-dessous afin de vous donner une idée plus précise de son contenu et de son style.

J'espère que vous apprécierez cet ouvrage.

Bonne lecture à tous !

Premier extrait : Découvrir les lois de l'attraction.

(page 78)


" Je me retourne vers Erik.
-          Attends… Mais tu es donc en train de me dire que l’attraction d’une femme envers un homme peut être... créée ? Enfin, artificiellement créée, j’entends ? Comme déclenchée ? C’est bien ça ?
-          Non, je ne le crois pas…

Ah…

-          J’en suis sûr, reprend-il. L’attraction n’est pas un choix.
-          Comment ça l’attraction n’est pas un choix ?
-          Je veux dire par là qu’on ne choisit pas par qui et comment on est attiré. On est attiré par quelqu’un parce que cette personne a su, consciemment ou inconsciemment, déclencher en nous les interrupteurs de l’attraction. L’attraction d’une femme envers un homme n’est pas un choix qu’elle fait délibérément. Elle ne se dit pas «  Tiens, j’ai envie d’être attirée par cet homme » ou « Oh non, je n’ai pas envie d’être attirée par celui-là ». Elle est attirée, c’est tout. Elle pourra choisir d’y donner suite ou non mais le processus initial est indépendant de sa volonté. L’attraction est une réponse biologique à un ensemble de sollicitations naturelles !

Erik s’arrête un instant puis énonce distinctement :

-          Celui qui sait déclencher cette réponse biologique, parce qu’il connaît ces sollicitations, peut attirer une femme ! "


[...]

Deuxième extrait : Comment aborder.

(page 100)

" Il reprend alors sa bière, tout content de lui et me dit en baissant la voix.

-          Tu vois, c’est ça aborder par une demande d’opinion. Très facile. Tu demandes un avis féminin sur une question que tu as. Comme ça, tu justifies indirectement le fait d’aborder des inconnus d’une part et surtout des femmes d’autre part. Ensui...
-          Ouais... pas mal du tout... dis-je impressionné.
-          Ensuite, tu lances ton sujet et tu vois comment elles y répondent. Si tu vois qu’elles sont disposées à parler, comme ici d’ailleurs, tu alimentes le débat avec d’autres arguments. Tu vois, j’aurais par exemple très bien pu poursuivre en demandant à la troisième pourquoi c’est mieux dedans et ainsi faire rebondir la conversation. Si ça accroche, tu enchaînes avec d’autres questions, relatives à d’autres sujets et petit à petit, tu en viendras à discuter de choses qui n’ont plus aucun rapport avec ton sujet d’approche initial. Tu as juste créé une discussion grâce à une technique d’approche indirecte et justifiée. Puissant, non ?
-          Très puissant...
-          Tiens, pendant que j’y suis. Retiens aussi ça, c’est important... Pour être vraiment parfait, tu peux - et tu dois même - ajouter d’autres techniques parallèles. Imperceptibles au premier abord mais qui sont très utiles. Je ne sais pas si tu as noté mais j’ai dit « Vous auriez quinze secondes à nous accorder ? ». J’ai dit cela intentionnellement. J’ai dit cela pour leur faire comprendre que je n’allais pas m’imposer plus longtemps. C’est très important. L’une des peurs de quelqu’un quand un inconnu l’aborde, c’est que ça s’éternise et qu’il n’arrive pas à s’en défaire. Là, je leur fais comprendre que ce ne sera pas le cas. J’aime bien aussi dans le même genre le « Je ne peux rester que deux minutes, après je dois rejoindre mes amis ». Celui-ci est doublement puissant. D’abord, tu les rassures sur le fait que tu ne vas pas t’imposer outre-mesure, ensuite tu annonces que tu as des amis, donc que tu es quelqu’un de social, validé par d’autres personnes et donc que tu n’es pas une menace. Tu joues sur l’inconscient de la personne. Et bien sûr, une fois que la discussion est lancée, plus rien ne t’oblige à partir au bout de deux minutes !
-          C’est très malin ton affaire…
-          Oui mais nécessaire. L’autre chose importante est le langage corporel. Tu as rassuré sur le fait que tu n’allais pas t’imposer dans le temps. Ne t’impose pas non plus physiquement. Ne te plante en plein milieu devant la nana. Mais au contraire, sois de trois quart, le corps orienté vers l’extérieur et seulement la tête tournée vers ton interlocutrice. Ensuite, seulement si la discussion s’enclenche, tu pourras te tourner complètement vers elle. Mais pas tant que tu n’as pas été accepté.
-          Ohlalala, je ne vais jamais pouvoir penser à tout ça... 
-          Ce n’est pas grave. Le tout est de le savoir. Ça viendra avec le temps et la pratique. Crois-moi. Maintenant, lance-toi ! "


[...] 

Troisième extrait : L'équilibre des énergies sociales.

(page 148)


"
-          Eh bien lors d’une rencontre, d’une interaction entre deux individus, c’est la même chose. Il y en a un qui dispose d’une plus grande énergie que l’autre. Cette énergie de l’interaction est c’est ce qu’on appelle l’énergie sociale. C’est un peu comme une représentation du statut social de l’individu. Lorsqu’un homme vient aborder une femme, par exemple, c’est elle qui dispose de la plus haute énergie sociale car c’est elle qui est abordée, c’est elle qui apparaît comme l’objet de convoitise, donc c’est elle qui, a priori, possède le pouvoir. Fut-ce d’ailleurs en vue d’une séduction ou non, ça n’a pas d’importance. La société est telle que le demandeur sera toujours en position d’infériorité face à son interlocuteur. J’imagine que lorsque quelqu’un vient te demander de l’aide au boulot, tu te sens plus fort que lui car c’est toi qui, à ce moment, dispose de la plus haute valeur. Et que donc tu lui feras une faveur en répondant à sa demande.
-          Oui, on peut voir ça comme ça.
-          Maintenant, imagine deux réservoirs. L’un est celui de la femme que tu abordes, il est plein d’énergie sociale. L’autre est le tien et il est presque vide puisque tu apparais comme le demandeur. Pour retourner l’interaction à ton avantage, il va te falloir alors inverser ce déséquilibre en vidant le réservoir de la femme et remplir le tien. Tu apparaîtras ainsi de cette façon comme l’objet de convoitise.
-          Euh… Ça n’a pas l’air simple ton affaire… Tu fais comment dans la pratique ?
-          Dans la pratique, c’est assez subtil, je te l’accorde. Rappelle-toi que tu dois faire tomber la fille de son piédestal. Donc tu ne dois pas hésiter à la recadrer si nécessaire. Si elle te coupe la parole pendant que tu parles, dis-le lui. Si un détail te choque dans son style, fais-le lui remarquer gentiment. N’hésite pas à lui lancer une petite pique de temps en temps pour lui ramener les pieds sur terre. Bref, démontre-lui ainsi qu’elle n’est pas supérieure à toi, que tu n’es pas acquis à sa cause. Cela permettra de faire baisser son niveau d’énergie sociale.
-          D’accord mais si je ne remarque rien à lui dire ?
-          Tu inventes, ce n’est pas un souci. Elle n’est pas obligée d’avoir vraiment quelque chose entre les dents pour que tu lui fasses remarquer, tu me suis ?
-          C’est méchant, ça…, dis-je avec un sourire entendu.
-          Par contre, attention. Si la fille que tu convoites a déjà une assez faible estime d’elle-même, zappe cette étape, tu l’abaisserais encore plus. Il faut vraiment que tu saches faire rapidement la part des choses entre celles qui ont la grosse tête et qui méritent d’être rabaissées de celles qui n’en ont pas besoin.
-          En gros, je vanne les bombes qui n’en ont pas l’habitude et je suis plus doux avec les filles moyennes ?
-          Exactement. "


[...]

Quatrième extrait : Le Premier Empereur de Chine

Parce que j'ai voulu aussi rendre ce livre intéressant et instructif d'un point de vue historique, je l'ai parsemé de petits zooms culturels selon les étapes du voyage de mon héros.

Ainsi cet exemple sur Qin, le premier Empereur de Chine, au moment où Hugo visite la célèbre armée des guerriers en terre cuite de Xi'an :


(page 29)

"Qin fut le premier Empereur de la Chine. Son nom, d’ailleurs, est à l’origine du nom de ce pays, chose qui devient plus évidente quand on sait que le « Q » des mots chinois se prononce « Tch ».
Un peu le Simon Bolivar de la Bolivie ou le Christophe Colomb de la Colombie.

Il nait au IIIe siècle avant notre ère au sein de la famille royale du royaume du... Qin. À cette époque, dans les années 250 avant Jésus-Christ, il existait, dans ce qui est la Chine actuelle, sept Royaumes qui se faisaient continuellement la guerre pour la suprématie régionale. Il y avait le royaume du Qin, celui du Qi, le Han, le Zhao, le Wei, le Chu et le Yan.
Qin, le futur empereur des Chinois, était issu, comme son nom l’indique, du Qin mais il avait passé son enfance dans le Han, en tant qu’otage royal. Il gardera d’ailleurs de cette expérience traumatisante de très mauvais souvenirs qui alimenteront ses désirs de revanche et de conquête.
Lorsqu’il rentre au Qin pour monter sur le trône, il est alors très jeune puisqu’il n’a qu’une dizaine d’années. Cette jeunesse va lui permettre de régner, chose extrêmement rare pour l’époque, pendant près de quarante ans. Ce long règne lui donnera alors l’occasion de mener à terme guerres, conquêtes, constructions et modernisation de son pays et ainsi faire de lui l’un des souverains les plus incontournables de l’Histoire de Chine et voire du monde.

Qin est avant tout un visionnaire. Il commence par moderniser et entrainer son armée en vue des conquêtes qu’il souhaite mener. Il comprend qu’une armée forte sera l’instrument de sa victoire prochaine. En quelques années seulement, il fait prendre à l’armée de son Royaume une avance technologique et organisationnelle considérable sur ses voisins. On a, par exemple, découvert que les épées des soldats étaient recouvertes de chrome, procédé employé ici plus de deux mille ans avant qu’il ne soit utilisé en Europe. Cette technique rendait les épées plus coupantes et surtout plus résistantes. Elles pouvaient ainsi être plus longues et permettre aux soldats de combattre à plus grande distance de leurs ennemies et donc à moindre risque.
Les têtes d’armes étaient produites non pas de manière artisanale mais de façon industrielle, presque à la chaine. On a en effet retrouvé des moules de pointes de flèches et de lance. Les ingénieurs du Qin inventèrent même l’arbalète, arme d’une puissance dévastatrice sur le champ de bataille, qu’ils rendirent aussi capable de tirer plusieurs flèches en rafale. L’ancêtre de la mitraillette moderne.
Il instaure un système de rémunération de ses soldats…à la tête des adversaires qu’ils ramènent. Cela a pour effet d’exciter leur motivation et leur férocité au combat. Et si jamais un soldat fuit ou déserte, c’est toute sa section qui est exécutée. Une bonne façon de motiver tout le monde à se battre jusqu’au bout et à s’encourager les uns les autres.

Au bout de quelques années, Qin se sent enfin prêt à envahir ses voisins.
Il commence par le royaume du Han contre lequel il nourrit une haine sans égale. En quelques années, les Han sont défaits sans pitié. Il poursuit avec le Qi, le Zhao, le Wei. Le Yan se rend non sans avoir tenté de l’assassiner par le biais de son diplomate. Reste finalement le plus gros morceau, le royaume du Chu. La guerre est rude pendant des années mais voit finalement le royaume du Qin s’imposer.
En une dizaine d’années, Qin aura ainsi vaincu et unifié tous les autres royaumes en un tout nouvel empire. Un empire dont il devient le premier Empereur et, dans un début de mégalomanie propre au personnage, se fait nommer Qin Huangdi, « Dieu auguste parmi les hommes ».
"



[...]

Ce qu'ils en ont pensé...

Je vous propose ici les retours qui me parviennent par mails suite à la lecture du livre.
Je m'engage évidemment à afficher ici les commentaires positifs comme les commentaires négatifs.


  • Régis, 14 juin 2010


J'ai dévoré ton bouquin ce week-end et je te félicite sincèrement pour celui-ci.

J'ai très envie de devenir un homme alpha.

J'ai beaucoup aimé cette alternance entre ces descriptions éclairées de ton voyage et ces introspections sur la condition de l'homme face aux femmes. Un livre initiatique à coup sur et que j'ai désormais dans mon cartable comme une sorte de chapelet dont je tourne les pages de temps à autre afin de m'imprégner d'un passage ou d'une citation qui fait écho en moi.

Encore félicitations !


  • Jean-Yves, 24 février 2010 :


Salut Julien . J'ai terminé ton roman . Bon alors , l'impression générale : j'ai beaucoup apprécié . J'adore les voyages , et l'asie est le seul continent que je n'ai pas visité . Donc , evidemment , les informations que tu donnes m'interessent au plus haut point . Il y a beaucoup de points qui ont attiré mon attention , et c'est bien . J'aime le ton que tu as donné à ton roman , il est à teneur pédagogique mais sans prise de tête . En ce qui concerne la "technique de séduction" pour moi ce n'est , finalement , pas le sujet principal de l'histoire . Il y a plusieurs sujets dans ton roman qui tournent autour des relations humaines.





  • Fabrice, 13 février 2010 :


Hello !
Je voulais juste te féliciter pour ton livre. très sympa à lire et pleins de bons enseignements !
bref, on ressent dans le livre le même ton amical que sur tes posts et c'est super agréable.


  • Amadour, 13 février 2010 :
J'ai lu ton bouquin (en pdf), j'avais l'intention de faire une deuxième lecture avant de te donner mon avis, mais bon je vais te donner les grands points tout de suite : sur le fond j'ai bien aimé (ça se lit vachement bien et vachement vite, on a envie de continuer, c'est marrant et intéressant) mais sur la forme y'a quelques trucs qui m'ont soulé ( fautes de français, tournures qui n'ont pas grand chose à faire dans une narration), le genre de truc que j'aurais pas pardonné à un bouquin que j'aurais acheté ds le commerce. Attention y'en a pas tant que ça, et dans l'ensemble le ton décontracté rend la lecture agréable et colle bien au sujet ( et puis ça n'est que mon avis :). Un truc qui m'a pas vraiment branché, mais sans me déranger, c'est les encarts culture. Je préfère largement quand ta connaissance millénaire est subtilement distillée dans un dialogue ou une anecdote ;)



  • Grégory, 11 février 2010 :
Salut Julien !
j'ai bientôt fini ton livre, j'ai pas eu beaucoup de temps mais la première fois que je l'ai ouvert, j'ai pas réussi à m'arrêter avant la 116è page !
En tout cas, ça se lit bien, et c'est agréable. J'aime beaucoup les passages culture pays, ça donne une dimension en plus, et j'ai vraiment l'impression d'y être !! Après, ayant vu tes photos sur le blog, ca aide à s'imaginer les scènes quand tu parles des guerriers en terre cuite, de la muraille et de tout le reste.
L'aspect séduction est bien lancé via l'arrivée dans l'auberge, ça arrive pas d'une manière lourde, ca donne encore une fois une bonne impression d'y etre ! j'aime !
Je terminerais mon retour une fois fini.


[...13 fevrier]
Ca y est, j'ai fini !
J'ai fini le livre d'une traite, parce que globalement, comme le début, la fin se lit bien, parce qu'on a vraiment envie de savoir comment ton personnage termine son éducation !
Donc félicitations pour le travail !
Par contre, pour être honnête, j'ai trouvé 1 ou 2 transitions un peu rapides... genre le passage avec l'explication de l'aikido qui débouche sur les transferts d'énergies ...et tout a coup on entre dans les énergies sociales. Après rassure toi, j'imagine bien la complexité à gérer le mix entre les passages séduction, les passages culturels, et les voyages...


Mais globalement, au risque de me répéter, ca se lit très bien, on s'attache vite au personnage, on veut savoir comment il va évoluer, mais aussi ou il va évoluer ! Vraiment COOL, t'as géré !


  • Benoît, 23 janvier 2010 :
Bon j'ai effectivement dévoré ton livre. J'ai été ravi de le lire, probablement beaucoup parce que je suis parti pris et que j'y retrouve le ton de ton blog et que le petit côté autobiographique a plus de charme quand on connait monsieur auto. En tous cas si tu m'autorises je vais procéder à une rapide critique (personnelle et non professionnelle) dudit ouvrage en essayant de rester constructif. Let's roll !!


Ce que j'ai aimé :
* les passages historiques, j'ai toujours adoré les ptites anecdotes et l'Histoire en général, alors je suis le public cible rêvé
* l'apologie de la séduction et non du chopage barbaresque, et le parallèle établi avec les relations sociales en général
* le mélange road-movie / initiation, avec une progression du personnage principale intéressante
* le personnage énigmatique d'Erik, et sa relation ambiguë avec Hugo
* les descriptifs géographiques, ça donne envie de partir sur l'instant, d'autant que ce ne sont pas uniquement des contemplations béates des merveilles du monde. La présence de critiques et de côtés négatifs est pour moi un bonus appréciable
* le parallèle établi entre la séduction et les sports de défense
* voir ton nom en couverture
* voir ta gueule en couverture


Ce que j'ai moins aimé :
* quelques coquilles (fautes, mots manquants ou en doublons), mais rien de grave
* Le début un peu fouillis, le véritable départ du livre arrivant à la rencontre avec Erik
* La dissymétrie des rapports entre les deux personnages principaux, l'apprentissage du Krav-Maga étant trop épisodique. J'ai trouvé qu'il y avait matière à plus creuser dans cette voie, mais ce n'est que mon avis personnel.
* ça se finit trop vite !!!!!!!!!!!!

  • Alexis, 18 janvier 2010 :
Je n'ai pas vraiment besoin d'outils de séduction mais j'avoue que j'ai été étonné par les infos que ça apporte, ça ne peut pas faire de mal...
Et puis il n'y a pas que ça, l'histoire est bien construite, avec toute les infos historiques c'est super intéressant !


  • Hadrien, 18 janvier 2010 :
La lecture de ton livre m'a permis d'apprendre beaucoup de choses sur l'art de la séduction, profane que je suis! J'ai dévoré ton bouquin en quelques heures : vraiment prenant et instructif! Et les petits passages culturels ne gâchent rien (en tant qu'ancien expatrié rentré en France pour les études, je suis un fan de voyages et ton livre m'a donné des idées! ).

Je le garde précieusement dans mon disque dur (acheté en format PDF) afin de pouvoir m'y référer si ma mémoire venait à flancher!

Maintenant, comme le dit Erik, il est temps de passer à la pratique!


  • Jean David, 13 janvier 2010 :
Petite précuation oratoire : je suis un gros lecteur (1 bouquin et demi par semaine en moyenne) et des manuscrits de potes j'en ai vu passer un paquet. J'ai toujours une formule délicate et encourageante.
Cela ne sera pas le cas avec toi pour une raison simple : tu as une plume mon salaud. Une vraie plume.
Tu as un réel talent et je te conjure de ne pas abandonner l'écriture quoi que l'on puisse te dire.
Aucun coup de brosse dans cette intro, juste la réalité des faits. Au titre de cette transparence je vais donc également évoquer les points faibles de ton roman (que bene amat, bene castigat).

[Je masque ce passage pour ne pas spoiler l'histoire...]

Tu es très fort parce que tu as une qualité que j'aime en tant que lecteur : tu es un bon conteur. Tu me prends par la main et je te suis avec délice. Je ressens le plaisir/la moiteur/l'excitation/la découverte et je me surprends à regretter les moments où l'on revient à ton thème principal (la séduction).
J'ai apprécié les références culturelles, les anecdotes et l'humour et je me suis délecté de certaines situations
Donc je te renouvelle mes compliments Julien. J'insiste mais tu as un réel talent raison pour laquelle je me permets d'être critique. Certains écrivains professionnels m'ont déçus dernièrement et toi tu m'as surpris. Donc un énorme GG !! Continue à écrire tu as un lecteur fidèle.

  • Cécile, 12 janvier 2010 :
Le livre m a plu a vrai dire je ne m attendais pas a ce genre de livre par rapport au extrai que tu avais mis sur ton site de promos. Perso je n aurai peut etre pas choisis ces extrait pour attirer le plus de monde mais ca n engage que moi.Je m explique pour moi ils m ont donné l impression que j allais lire une livre axé "intellectuel" avec des mots compliqué et tout et tout alors qu il s adresse a tout le monde et ca g beaucoup apprecié.D ailleurs s il ne m avais pas plus je ne l aurais pas lu aussi vite!
Par contre tu me disais que cela s adressai surtout a des personnes en dessous de 35 ans, mais je pense que c un peu reducteur et que tu a du oublés tout ces quarantenairs divorcés qui etait avec leur femme depuis treente ans et qui du coup n on pas eu a seduire reelement une femme pendant toutes ces années...Regarde dans quel état d esprit est hugo aprés sa rupture alors imagine ces hommes la dans quel etat eux doivent etre! Le vélo s oubli pas mais apres 2à ans sans en avoir fait c quand meme dur de se remettre en selle!
Pour les passages historique c bien ils sont assez condensé donc pas soporiphiques et m on appris des choses je resortirai le coup des clopes lucky strike) et j etai etonné de ce que g appris pour l ile de paques.

  • Noémie, 12 janvier 2010 :
Fan absolue de votre blog de tour du monde mais aussi du tiens plus perso que j'ai parcouru et qui m'a beaucoup plu, dès que j'ai vu que tu avais écris un livre, je l'ai acheté.
Je viens de le finir à l'instant.
Alors déjà félicitations! Parce que c'est pas une mince affaire d'écrire un livre et que je trouve le tiens très original.
Pour avoir suivit le "vrai" tour du monde j'étais un peu perdue parce que c'était assez difficile de voir la limite entre fiction et réalité... mais j'ai appris pas mal de trucs, j'en ai révisé d'autres (que j'avais lu dans autour du globe) et j'ai passé un agréable moment à le lire donc je voulais t'en faire part même si on ne se connait pas beaucoup.
Je vais pouvoir me la raconter en soirée avec les anecdotes que tu distillent un peu partout (oui j'aime bien me la raconter en soirée) et je vais parler de tes techniques de drague à mes potes...

  • Gabrielle, 28 novembre 2009 (lecture de la v4 du manuscrit):
Est-ce que j’aime ton bouquin ?

Non.

J’admire l’honnêteté dont tu fais preuve et la sincérité que tu y mets.

J’aime beaucoup les passages culturels, d’autant qu’il y en avait un certain nombre que j’avais déjà lu sur le blog, et que je les ai relu avec plaisir, ce qui prouve que le style est plus qu’agréable et pas seulement didactiques dans ta manière du raconter.

Pour le reste je trouve que ton style est un peu juste et moins agréable, voir lourd. Surtout au niveau des dialogues, qui sont souvent l’occasion de mettre en scène des pans de la mystery method, et on vire au manuel de développement personnel. En plus les digressions sur l’homme alpha sont assez répétitives. Enfin, pour être sincère, tu fais pas mal de fautes de syntaxe (je ne suis pas sure de ne pas les faire sur un format aussi long soit dit en passant), et certaines de tes tournures parlées affaiblissent un peu le récit.

Je n’ai pas réussi à éprouver de sympathie pour Hugo, et le roman initiatique est resté à mon sens assez enfantin, très occidento- centré. Ex, tu t‘emeus du sort des aborigènes et tu te plains des problèmes de confort du voyage back pack une page sur 6…

Même si je pense que tu dois le rebosser, je pense que si tu en as envie, tu dois le publier, car il peut rencontrer son petit succès. Dans le métier on appelle ça un produit « main stream », c’est à dire quelque chose de « consensuel qui correspond à une tendance réèlle et bien mis en forme». Moi, Gabrielle, je n’aime généralement pas le main stream, et par main stream je n’entends pas de 7 à 77 ans. J'entends que ton bouquin peut rencontrer un écho fort auprès d’un groupe sociologique de ton sexe sur ta tranche d’âge, un écho réel. Parce qu’il est sincère, parce qu’il est positif et parce qu’il dispose de certaines originalité (en partie les digressions culturelles).
Je pense qu’il a une valeur didactique beaucoup plus forte qu’un manuel de développement personnel, et je pense qu’il peut marcher.

C’est donc mon sentiment et mon analyse marché que je te livre.

  • Muriel, 7 août 2009 (lecture de la v3 du manuscrit):
Même si ce bouquin est plutôt réussi je crois qu'il vaudrait mieux, pour l'humanité, qu'il ne soit pas publié. C'est une véritable arme de destruction massive ! Il n'y aura plus que des hommes Alpha sur terre et ça va vite devenir compliqué... C'est un beau cadeau que tu fais aux autres hommes parce que tu prends le risque de multiplier le nombre de tes rivaux.
Je suis sûre de le voir prochainement en librairie. Enfin un livre pour les hommes, écrit par un homme (et qui intéressera donc forcément les filles), ça ne passera pas inaperçu.
La reproduction sans autorisation de ce texte sur quelque support que ce soit, même partielle, est interdite et protégée par le copyright du roman.